Établir une facture et recevoir son argent – le processus est simple. Mais si vous avez déjà envoyé des factures à l’étranger, vous savez que les choses se corsent au moment de la réception du paiement. Ainsi, certaines banques exigent des frais pour les inscriptions au crédit. Il arrive également que le débiteur souhaite payer dans une devise qui n’est pas avantageuse pour l’entreprise. Ces exemples montrent que, dans la pratique, des obstacles sont à prévoir.

Voici quelques conseils qui vous permettront d’optimiser le timing et les coûts de vos paiements entrants.

Réclamer de l’argent par voie numérique

Pour de nombreuses entreprises, il est essentiel que les factures soient payées dans les délais. Courir après les paiements demande du temps, de l’argent et de l’énergie. C’est pourquoi le mieux est de numériser votre processus de facturation. Vous économiserez ainsi de précieuses ressources.

Lorsque le processus de facturation est numérisé, quelques clics suffisent pour établir une facture. Pour cela, deux options s’offrent à vous: vous pouvez soit réclamer les montants dus par e-mail au moyen de QR-factures, soit envoyer la facture directement dans l’e-banking de vos clients avec eBill. Ces deux voies de transmission ne prennent que quelques secondes. Difficile d’être plus efficace. Les délais de paiement courts contribuent à optimiser encore davantage le trafic des paiements.

Chez PostFinance, l’intervalle entre l’inscription au débit et l’inscription au crédit se situe entre zéro et deux jours ouvrables maximum. Une fois la facture établie, dans le meilleur des cas, vous recevez votre argent en quelques heures. Toute l’entreprise en bénéficie: les créances ouvertes et les salaires sont payés à temps et les investissements peuvent être effectués de manière plus flexible.

Optimiser les coûts des paiements entrants

Des coûts bas et des processus simples – c’est là le souhait de tous les entrepreneurs. Voici donc les deux facteurs principaux à prendre en compte en ce qui concerne les entrées de paiements:

• Économiser des coûts lors des entrées de paiements
• Les clients ou les partenaires commerciaux doivent pouvoir régler leurs factures sans restrictions. Cela vaut en particulier pour les paiements depuis l’étranger.

Économiser de l’argent avec PostFinance

Recevoir des paiements transfrontaliers tout en économisant des coûts? Dans de nombreuses banques, cela n’est pas possible. Il est fréquent que des frais soient prélevés lors d’inscriptions au crédit depuis l’étranger. C’est pourquoi vous ne touchez jamais le montant intégral de la facture. Il en va différemment pour les clientes et clients de PostFinance, qui reçoivent toujours l’intégralité du montant. Il n’y a aucune déduction ni aucun frais dissimulé.

Pour qu’un paiement arrive sans détour sur votre compte, les indications suivantes suffisent:

• Votre nom
• Votre adresse
• Votre IBAN
• BIC de PostFinance
• Adresse de PostFinance

Vous n’avez besoin de rien de plus pour pouvoir recevoir des paiements. Cette simplicité est aussi appréciée de votre clientèle et de vos partenaires commerciaux. Vous recevez directement le crédit, sans aucun coût supplémentaire. Cela vaut également pour les devises étrangères.

Gérer correctement les monnaies étrangères

Si vous faites des affaires à l’étranger, vous recevez sans doute souvent des paiements en devises étrangères. Il est donc d’autant plus essentiel de vous confronter à la question des devises. En gérant leurs risques de change, les entreprises accroissent la fiabilité de leurs planifications et renforcent leur compétitivité.

En cas d’encaissements depuis l’étranger, il vaut la peine d’ouvrir un compte en monnaie étrangère. Pourquoi? Grâce aux opérations sur devises de PostFinance, vous pouvez changer des devises rapidement et en toute simplicité. C’est vous qui déterminez le moment idéal. L’avantage: vous vous assurez contre les risques de change et tirez parti des fluctuations de cours.

Vous trouverez d’autres informations concernant les risques de change dans notre article «Commerce extérieur: comment minimiser les risques de change».